Dernière mise à jour le 22 mai 2020.
La gestion de l’épidémie par le gouvernement français ne tient plus de la négligence ni de l’incompétence mais de la malveillance volontaire. Toute cette crise est volontairement orchestrée au profit d’intérêts politiques et économiques. Il n’y a pas de crise sanitaire, il n’y a qu’une crise de notre système de santé créée de toute pièce.
Le seul but du confinement est d’éviter de saturer les services de santé. Les services de santé sont de toute façon saturés chaque année à cette période, juste un peu plus cette année parce que les rares formes graves du virus nécessitent des équipements lourds pour les soins (respirateurs, réanimation, etc.), ce qui n’est généralement pas le cas de la grippe et parce que la peur elle-même est source de problèmes physiques. Cette saturation des services de santé n’est pas la conséquence d’un nouveau virus mais des choix qui sont faits année après année de réduire les moyens des hôpitaux.
On ne peut pas parler de crise sanitaire car ce virus est bénin pour 99% de la population et a un taux de mortalité très faible. Les pays qui n’ont pas mis en place de confinement (comme la Suède) n’ont pas plus de problèmes que les autres. La pire situation qu’on pourrait imaginer pour la propagation d’une épidémie s’est produite à bord du navire de croisière Diamond Princess. Dans un contexte particulier où presque 100% des passagers étaient considérés « à risque », il y a eu 7 décès sur 3711 passagers et membres d’équipage dont à peine 1% des contaminés avérés. En Italie, pays qui paie le plus lourd tribu en terme de morts, 99% des personnes décédées souffraient déjà d’au moins une autre maladie (analyse de mi-mars). Fin mars 2020, en France, on a toujours une mortalité plus faible pour ce 1er trimestre qu’en 2018, y compris pour le seul mois de mars, même s’il y a des disparités régionales importantes. D’après les chiffres officiels, au 14/04/2020 15700 sont mortes du corona virus en France soit 0,02% de la population française.
Ce qui montre que la situation actuelle est voulue par les autorités :
- la France dispose d’un plan pandémie pour faire face aux situations de ce genre. Même s’il a été vidé de ses moyens au fil des années, dès la mi-janvier, toutes les conditions étaient réunies pour activer ce plan et la ministre de la santé de l’époque, Agnès Buzyn, a alerté le gouvernement sur le risque de pandémie. Le gouvernement a choisi de ne pas activer ce plan.
- le 13 janvier 2020, alors que l’épidemie se répand en Chine, Agnes Buzyn classe la Chloroquine dans les substances vénéneuses (disponibles seulement sur ordonnance), alors que cela fait 50 ans qu’elle est en vente libre.
- le 26 février, le professeur Didier Raoult, virologue mondialement reconnu, montre sur la base d’une étude chinoise que la Chloroquine soigne 90% des cas de coronavirus s’ils sont dépistés assez tôt. Effectivement, la chloroquine est connue depuis des années pour être très efficace contre toute la famille des coronavirus. Il s’oppose au confinement généralisé des porteurs sains qu’il juge digne du Moyen-Age. Il prône un dépistage généralisé, un confinement des seuls malades et un traitement rapide associant chloroquine et l’azithromycine (antibiotique) dès les premiers symptômes. Pas de réaction du gouvernement.
- Le journal le Monde et l’Agence d’État de la santé qualifient les recherches du professeur Raoult de Fake News, avant de se rétracter. À noter que sous couvert de chasse aux « Fake News », l’ensemble des grands réseaux sociaux se livrent depuis le début d’année à la plus grande opération de censure de l’histoire récente.
- le 3 mars, un décret réquisitionne les masques (réactualisé les 13, 20 et 23 mars et étendu aux gels hydro-alcooliques). À cause de ce décret, il n’est plus possible de vendre des masques pour les pharmacies et autres commerces. Il devient également impossible d’importer des masques et de les vendre aux centrales d’achats. À côté de ça, dans un premier temps l’État n’en commande pas. Il passe ensuite des commandes qui ne sont pas honorées car il souhaite payer à 6 à 8 mois de délai. La pénurie est créée de toute pièce et ne touche que la France.
- le 16 mars, le professeur Raoult confirme par une première étude clinique l’efficacité spectaculaire de la chloroquine. Pourtant, avant d’autoriser la prescription de la chloroquine, l’état décide de se lancer dans une série d’études dont aucune de respecte le protocole qu’elle est censée valider. On ne ferait pas mieux si on voulait discréditer cette molécule et perdre/gagner du temps.
- le 17 mars, Agnès Buzyn, ancienne ministre de la santé, révèle au journal Le Monde avoir menti dans ses communications officielles sur la gravité de la pandémie en cours pour des raisons politiques.
- Le 20 mars, l’ex-président de GDF déclare à propos des respirateurs artificiels : « Beaucoup d’industriels m’ont téléphoné aujourd’hui […] pour me dire nous avons des prototypes, nous voulons faire et nous n’avons aucune réponse de l’Etat depuis 2 mois »
- au 25 mars, pendant que les services publiques de santé sont saturés, il reste encore 250 cliniques privées, rien qu’en Île-de-France, qui sont vides de patients et qui attendent d’être sollicitées par l’état. D’après un communiqué officiel de la Fédération de l’Hospitalisation Privée du 22 mars, 10 000 lits sont disponibles sur le territoire. Suite au relai dans la presse de ce cri d’alarme, des patients commencent enfin à être envoyés dans les cliniques privées.
- Le 2 avril, Mediapart dénonce à travers une grande enquête les mensonges d’état concernant la gestion des masques
- Le 3 avril, Marianne dévoile les liens entre les experts du conseil scientifique de l’Elysée et l’industrie pharmaceutique
- Le 3 avril, Le Point révèle que la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine depuis 3 semaines à cause d’une loi interdisant aux biologistes vétérinaires de traiter des prélèvements provenant d’un corps humain. Le lendemain, le ministre annonce la suspension de cette norme.
- Le 6 avril, l’ARS confirme 600 suppressions de postes à l’hôpital de Nancy. Suite à l’indignation générale, le ministre de la santé annonce que les suppressions sont suspendues… jusqu’à la fin de la crise
- le 24 avril, le gouvernement s’oppose toujours à la réouverture d’une usine de masque en Bretagne
Non nous ne somme pas en guerre et heureusement : si on agissait de la sorte, notre pays serait déjà envahi depuis bien longtemps avant qu’on ait pu homologuer la première balle.
Pourquoi vouloir créer de toute pièce une « crise sanitaire » doublée d’une crise économique et financière ?
Il y aurait beaucoup à dire. Je ne rentrerai pas dans les détails mais voici quelques idées au hasard :
- intérêts politiques :
- étouffer les contestations sociales incessantes depuis des mois et contrôler les gens par la peur
- créer le problème et se positionner en sauveur en apportant la solution
- faire passer des lois/décrets/projets/etc. en douce et qui auraient suscité beaucoup de polémiques :
- Prolongation de 4 ans du chantier catastrophe de l’EPR Flamanville (budget maintenant à 12 milliards d’euros contre 3,5 initialement)
- Déréglementation totale de l’installation de nouvelles antennes de téléphonie mobile
- Expérimentation de la géolocalisation de masse et de la surveillance généralisée par drônes
- Evacuation de la ZAD de Brétignolles-sur-Mer
- Coutournement voire destruction du droit environnemental
- Modification de la liste des ingrédients des produits sans en informer le consommateur
- intérêts économiques :
- les crises favorisent les gros acteurs économiques qui ont les ressources pour survivre à la crise face aux plus petits qui disparaissent. Les crises accentuent donc la concentration des richesses vers les plus riches.
- socialiser les pertes, privatiser les profits. Un certain nombre de grosses entreprises françaises sont déjà en train de toucher les aides de l’état tout en versant des milliards de dividendes à leurs actionnaires
- fragiliser les salariés pour tirer les salaires et les conditions de travail vers le bas
Bien sûr, les intérêts économiques et politiques sont très liés. Plus les gens auront peur, plus on pourra nous imposer le vaccin qui ne manquera pas d’arriver.
Quelques articles qui vont dans le sens de mon analyse :
https://blogs.mediapart.fr/delhery/blog/030420/pourquoi-la-france-cache-un-remede-contre-le-virus-teste-et-peu-couteux
https://strategika.fr/2020/04/01/geopolitique-du-coronavirus-entretien-avec-valerie-bugault/
https://www.youtube.com/watch?v=iI4cneaYKOo
https://medium.com/@CavelierLucien/chronologie-dune-crise-des-faits-contre-des-mensonges-d-%C3%A9tat-cb2291782acb + https://fb.me/OnOublieraPas
Article sur la pandémie 2020 : de la fraude statistique à la société de contrôle
Pétition de soutien à un groupe de médecins ayant porté plainte pour mensonges d’état.
Il est possible de changer tout ça à condition d’avoir conscience de ce qui se joue.
Une réponse sur « Une crise créée de toute pièce par le gouvernement »
Il y a aussi un collectif de médecins belges qui a porté plainte contre l’Etat belge également, notamment pour homicide involontaire et volontaire. https://www.dhnet.be/actu/faits/cinq-medecins-portent-plainte-contre-l-etat-belge-5eb44d857b50a67d2e2bd220?fbclid=IwAR0nSPTn_MHlT4zjw0JknlSR89-X8V-4OVLuUfNyuvPG37fUX_YWtReqvVs